Un samedi soir
Face au vent mauvais,
Mes affres éternelles.
Fragrances mortes,
Ritournelle d'automne,
Un esprit vagabonde.
Christophe Poirier
Et maintenant je laisse venir le temps de dévoiler des mots et des phrases, sous des yeux écarquillés, des femmes nues, mes muses, enfermées depuis des millénaires dans mes tiroirs secrets recouverts par la poussière des souvenirs du passé.
Face au vent mauvais,
Mes affres éternelles.
Fragrances mortes,
Ritournelle d'automne,
Un esprit vagabonde.
Christophe Poirier